Que ce soit en cuisine ou tout simplement dans ma vie, je me laisse assaillir d'envies et de projets que je n'arrive le plus souvent jamais à mener à bien faute de temps ou de motivation...
Une année sabbatique ne serait probablement pas suffisante pour me permettre de tester et surtout de maitriser tout ce qui me fait envie en cuisine (boulangerie, cuisine de tous les jours, cuisine du monde, pâtisserie, desserts...).
Sans parler de mes projets de vie : me remettre à l'italien, reprendre des cours de mandarin, faire le tour du monde...
Ahlalalalalala... Et si je gagnais au loto pour ne plus avoir besoin de travailler et me concentrer sur les choses vraiment importantes ?!...
Mais, je m'égare...
Je voulais vous parler aujourd'hui des yaourts maison.
Depuis que j'ai reçu une yaourtière de la part du Père Noël, j'en suis à peine à ma 4ème fournée...
La première était une réussite (même si les yaourts étaient un peu liquide).
Je m'étais inspiré de recettes trouvées sur Internet en remplaçant le traditionnel lait de vache par du lait de soja. Après l'avoir fait infuser avec un peu de sucre blond (+/- 2-3 CS) et des zestes de citron, j'avais versé le lait tiède sur mon ferment (un yaourt au lait de vache). Une fois les 7 pots remplis, j'avais programmé la yaourtière pour 8-9H. Le lendemain matin, les yaourts avaient migrés dans le frigo.
Résultat : un peu liquide et un peu fade malgré les zestes de citron et le sucre...
Pour la 2ème fournée, j'avais tenté la grande aventure : aromatiser les yaourts en versant de la confiture d'abricot au fond de chaque pot. 1ère erreur.
L'autre erreur venant probablement du fait que mon lait avait débordé... sans doute trop chaud donc...
Résultat : des yaourts sans tenue, "nageant" dans l'eau et franchement pas bons...
La 3ème tournée a été un échec encore plus cuisant... J'ai commis l'erreur suprême : verser le lait bouillant directement sur le yaourt !
Résultat (attendu) : le yaourt avait comme caillé... beurk !
Forte de mes erreurs, ma dernière tentative a été la bonne : un yaourt ferme mais pas trop et surtout suffisamment sucré pour être mangé sans ajout de sucre ou autre.
Je vous livre ici ma recette, très largement inspirée des Yaourts au miel de châtaignier de Makanai :
Je viens de manger le dernier et je pense déjà à la fournée de demain...
Et cette fois-ci je prendrai une photo !
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Une année sabbatique ne serait probablement pas suffisante pour me permettre de tester et surtout de maitriser tout ce qui me fait envie en cuisine (boulangerie, cuisine de tous les jours, cuisine du monde, pâtisserie, desserts...).
Sans parler de mes projets de vie : me remettre à l'italien, reprendre des cours de mandarin, faire le tour du monde...
Ahlalalalalala... Et si je gagnais au loto pour ne plus avoir besoin de travailler et me concentrer sur les choses vraiment importantes ?!...
Mais, je m'égare...
Je voulais vous parler aujourd'hui des yaourts maison.
Depuis que j'ai reçu une yaourtière de la part du Père Noël, j'en suis à peine à ma 4ème fournée...
La première était une réussite (même si les yaourts étaient un peu liquide).
Je m'étais inspiré de recettes trouvées sur Internet en remplaçant le traditionnel lait de vache par du lait de soja. Après l'avoir fait infuser avec un peu de sucre blond (+/- 2-3 CS) et des zestes de citron, j'avais versé le lait tiède sur mon ferment (un yaourt au lait de vache). Une fois les 7 pots remplis, j'avais programmé la yaourtière pour 8-9H. Le lendemain matin, les yaourts avaient migrés dans le frigo.
Résultat : un peu liquide et un peu fade malgré les zestes de citron et le sucre...
Pour la 2ème fournée, j'avais tenté la grande aventure : aromatiser les yaourts en versant de la confiture d'abricot au fond de chaque pot. 1ère erreur.
L'autre erreur venant probablement du fait que mon lait avait débordé... sans doute trop chaud donc...
Résultat : des yaourts sans tenue, "nageant" dans l'eau et franchement pas bons...
La 3ème tournée a été un échec encore plus cuisant... J'ai commis l'erreur suprême : verser le lait bouillant directement sur le yaourt !
Résultat (attendu) : le yaourt avait comme caillé... beurk !
Forte de mes erreurs, ma dernière tentative a été la bonne : un yaourt ferme mais pas trop et surtout suffisamment sucré pour être mangé sans ajout de sucre ou autre.
Je vous livre ici ma recette, très largement inspirée des Yaourts au miel de châtaignier de Makanai :
- 1 L de lait de soja
- 1 c.c. de miel de châtaignier par yaourt
- 1 yaourt au soja (de bonne qualité)
Je viens de manger le dernier et je pense déjà à la fournée de demain...
Et cette fois-ci je prendrai une photo !